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À Kyoto, on utilise abondamment l'image des geisha et des maiko pour vendre toutes sortes de
spécialités, comme les yatsuhashi ci-contre. De nombreux magasins échangent donc le traditionnel manekineko, chat invitant les clients à entrer, contre des figurines de
frêles et gracieuses jeunes filles en kimono. |
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Enfin, pas toujours très jeunes, certaines de ces geisha ont l'air d'avoir atteint un âge plutôt respectable,
gage de sérieux et d'expérience. D'autres ne sont pas forcément très frêles non plus, telle ce quasi-sosie d'Okame, la Déesse joufflue de la gaité et de la bonne humeur.
Tout cela reste dans une tradition de bon aloi.
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Mais malheureusement, on n'échappe pas aux abus. Et c'est ainsi que de ridicules peluches géantes se retrouvent attifées
d'un kimono. Et pire encore, l'inévitable Kitty-chan, dont la propension à revêtir n'importe quel costume en ferait presque la divinité tutélaire des cosplayers. |
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