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La Quête des neuf sources

La Quête des neuf sources

Voyons… Des histoires se déroulant dans un autre monde, où la Magie rivalise avec la Chevalerie, où les Humains rencontrent des Elfes, des Dragons et toutes sortes d’autres créatures fabuleuses, narrées sur un ton tour à tour badin, épique et parfois parodique, avec un léger excès dans l’usage des Majuscules. S’agirait-il d’un règlement de Contes ? Non point. Ce livre n’est en fait qu’une Fantaisie. Et pas si héroïque que ça.

Couverture par Bruno Bellamy.


Tribulations (plus ou moins) oniriques

À travers ces quelques nouvelles, vous apprendrez (entre autres) : 
- par quel hasard Rigournet a rencontré un Dragon
- les inconvénients qui découlent d’un accent texan trop prononcé
- qui en fait est le véritable patron chez le Père Noël et, consécutivement, ce qui a bien pu advenir du vieux Väinämöinen
- à quelles étonnantes réjouissances tous les Vampires sont conviés une fois par millénaire
- ce que les chats font du sommeil de leurs neuf vies
- quelles auraient été les aventures d’Alice si elle avait fait un détour par la lune… 
 et autres faits non moins étonnants.


 

Livre tome 1

Livre tome 2

ebook 

Chapitre prélude gratuit

En attendant la fin des Nomondes

Qu’avons-nous là ?

Les Nomondes : une série de six mondes et de leurs innombrables Périmondes. Et tout semble indiquer que lesdits Nomondes touchent à leur fin.

Édwenfili : une héroïne qui parcourt les Foires à la recherche de différents objets plus ou moins magifiés, activité propre à attirer toutes sortes d’ennuis sérieux. Et comme elle ne fait pas les choses à moitié, elle s’est mise en tête d’acquérir les anciennes pierres de puissance : les amelunes.

La Prophincesse : figure légendaire censée prévenir ou précipiter la fin, qui se retrouvera bien évidemment mêlée à tout ça. Autrement dit, pour une fin tranquille, c’est plutôt mal parti…

Couvertures par Leslie Boulay.


Source d’ennui(s)

Léneuillet est une petite ville anodine que les plus polis qualifient de tranquille et il faut bien avouer qu’elle est source d’un insondable ennui. Mais pour certains, elle est également source d’ennuis, auxquels d’ailleurs le terme «insondable» pourrait tout à fait s’appliquer, mais dans un sens nettement plus horrifique.