Dans son premier alboume des aventures de Didier Barcco, Monsieur le Chien vante les mérites de la tôle
ondulée (voir page 3 et page 4 que l'auteur met gracieusement à disposition sur son site ouèbe. Attention, c'est pour public averti). Mais il semble
vouloir dire que l'utilisation de ce matériau serait l'apanage des pays pauvres sous-développés en voie de développement émergents (bon sang, le politiquement correct
change à une telle vitesse qu'il devient bougrement difficile de le manier). D'aucuns ne manqueront pas de voir là de la part de cet auteur une volonté de passer je ne sais quel message
crypto-poujadiste, mais je coupe net ces thèses quasi-complotistes pour rappeler que cet estimable personnage nourrit une passion pour le Portugal qui explique bien plus simplement le choix
d'un pays lusophone pour étayer son propos. Si j'avais quelque chose à lui reprocher, ce serait la méconnaissance du Japon qu'il semble cultiver sciemment, sans doute par aversion pour les
Pokémons, dont sa progéniture s'est entichée au mépris de son autorité paternelle. À moins que ce ne soit son épouse qui se soit prise de passion pour le yaoi, mais
cessons là ces hypothèses… tout ça pour dire qu'au Japon, pays réputé pour sa haute-technologie (sauf peut-être en matière de nucléaire ces derniers temps), la tôle ondulée est un matériau
largement utilisé.
|
Mais quid de l'expression se prendre une tole ?