Tous les ans à Konomiya, a lieu le hadaka matsuri, ce qu’on traduit généralement par «festival de l’homme nu», bien que les participants ne le soient pas entièrement. Ils ne sont pas très habillés pour autant, vêtus seulement d’un fundoshi, le sous-vêtement traditionnel découvrant fesses, hanches et cuisses, et chaussés de tabis, sortes de chaussettes basses épaisses. Et ce n’est pas le froid de l’hiver qui va arrêter les participants. Pour les encourager, le public leur jette du saké dessus. Mais les participants n’oublient pas de se donner du courage eux-même en buvant, du saké également.
Ils forment des groupes qui suivent différents parcours pour se retrouver devant le sanctuaire, marqué par un portique appelé torii. Les participants sont des hommes de tout âge. C’est assez injuste pour les plus jeunes qui ne peuvent même pas boire de saké pour se réchauffer.
Devant le portique, chaque groupe dresse une sorte de mât en poussant des cris de joie. Le dernier groupe qui arrive porte des baquets qui auront leur importance par la suite. L’accès au sanctuaire prend du temps car les participants sont nombreux.
Tous ne peuvent d’ailleurs pas arriver au cœur du sanctuaire. Les prêtres donnent néanmoins leur bénédiction à tout le monde. Les porteurs de baquets se regroupent dans un coin et sont nargués de façon bruyante par les autres.
Et comme s’ils n’avaient pas assez froid, les voilà qui commencent à s’arroser, à la plus grande joie du public, qui reçoit souvent sa part d’eau lui aussi. En repartant, les participants offrent les rubans colorés qu’ils portent en guise de porte-bonheurs. Et tout le monde peut en profiter.
Ils forment des groupes qui suivent différents parcours pour se retrouver devant le sanctuaire, marqué par un portique appelé torii. Les participants sont des hommes de tout âge. C’est assez injuste pour les plus jeunes qui ne peuvent même pas boire de saké pour se réchauffer.
Devant le portique, chaque groupe dresse une sorte de mât en poussant des cris de joie. Le dernier groupe qui arrive porte des baquets qui auront leur importance par la suite. L’accès au sanctuaire prend du temps car les participants sont nombreux.
Tous ne peuvent d’ailleurs pas arriver au cœur du sanctuaire. Les prêtres donnent néanmoins leur bénédiction à tout le monde. Les porteurs de baquets se regroupent dans un coin et sont nargués de façon bruyante par les autres.
Et comme s’ils n’avaient pas assez froid, les voilà qui commencent à s’arroser, à la plus grande joie du public, qui reçoit souvent sa part d’eau lui aussi. En repartant, les participants offrent les rubans colorés qu’ils portent en guise de porte-bonheurs. Et tout le monde peut en profiter.
Excellent!!! Encore un festival japonais complètement fou!
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